Pont-d’Ouilly. Les passionnés de photo préparent le 6e numéro de leur magazine

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Pour préparer le 6e numéro de Capa photo magazine, Bruno Sébire, membre du collectif de passionnés de photographie à Pont-d’Ouilly (Calvados), recevait le comité de rédaction vendredi 2 juin 2023 : « On se réunit une fois par mois. L’endroit est défini en fonction des possibilités de chacun », précise Bruno Sébire.

Le président Robert Roussel compte dans ses rangs le Meilleur ouvrier de France de l’année 2000, Philippe Duflot, un couple de photographe, Franck et Betty, Léa Badrah, une journaliste, et Françoise Roussel. Le collectif publie un magazine trimestriel, organise un concours national et une expo tous les 2 ans. « En 2023, elle aura lieu à Torigny à partir du 8 septembre », annonce Robert Roussel.

Un magazine à deux orientations

Publié chez un éditeur manchois de Villedieu-les-Poêles, Capa photo magazine existe grâce aux bénévoles du collectif. « Je suis autodidacte dans le domaine. On sort 250 exemplaires par numéro et on vient de ressortir 100 exemplaires des premiers numéros pour de nouveaux abonnés qui voulaient avoir toute la collection », précise le président.

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Le magazine est vendu essentiellement par abonnement, « 60 % en Normandie, dont 40 % dans le Calvados. On se fait connaître par le bouche-à-oreille et les clubs photo. Depuis le 1er mars, on a créé un comité de rédaction », ajoute le président. Au programme du magazine, un zoom sur des photographes, « dont une rubrique sur un invité d’honneur, et des reportages sur des métiers d’art », présente le président.

Capa photo magazine ne s’adresse pas à un public de professionnels de la photo, plutôt à des passionnés d’art en général. « J’étais président des métiers d’art en Bretagne », relate Robert Roussel.

Transmettre sa passion

Le Meilleur ouvrier de France, Philippe Duflot n’était pas photographe : « J’étais vendeur de matériel photographique dans les années 70. Ça a attisé ma curiosité, j’ai quitté ce travail pour aller dans un petit studio et je me suis installé à Argences », raconte le photographe qui n’avait que son certificat d’études en poche.

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Chacun apporte sa pierre à l’édifice, Léa Badrah, journaliste, met à jour le site web, la page Facebook, « je fais des interviews pour alimenter le magazine, des reportages, j’essaie de trouver des partenariats », souligne Léa Badrah. « C’est un magazine tout public à orientation artistique », conclut la journaliste.

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