À voir du 18 septembre 2024 au 2 mars 2025.
Bande Dessinée (1964 – 2024) – Centre Pompidou (Paris 4)
Soixante ans de bande dessinée célébrés à travers un vaste accrochage de planches, couvertures, carnets et documents préparatoires du 9e art. L’exposition se veut une « immersion dans des univers multiples, allant de la ligne claire franco-belge au manga japonais, des foisonnements graphiques de l’underground aux styles contemporains les plus abstraits ».
À voir du 29 mai au 4 novembre 2024.
Mise en page, par Sarah Andelman – Bon Marché Rive Gauche (Paris 7)
Au Bon Marché, Sarah Andelman décline le livre avec une exposition protéiforme : sacs, totebags, bijoux, bougies… L’envie ? « Compléter la superbe librairie existante du Bon Marché », confie la curatrice au magazine Vogue. La co-fondatrice du célèbre concept store Colette ( fermé en 2017 ), et fondatrice de l’agence Just an Idea est à l’origine de collaborations inédites et exclusives qui réunissent les meilleures maisons culturelles, artistiques et tendances – Maison Kitsuné, les éditions Assouline, Ami, Gallimard – mêlées à des produits « provenant de librairies du monde entier », précise Vogue. Avec Mise en page, Sarah Andelman investit quatre zones du grand magasin, ainsi que ses vitrines.
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À voir du 24 février au 21 avril 2024.
L’intime, de la chambre aux réseaux sociaux – Musée des Arts décoratifs (Paris 1)
« Chambre, lits, fauteuils et canapés, paravents, coiffeuses, bourdaloues, chaises percées, baignoires, sex-toys, objets connectés, applications »… Leur point commun ? Tous sont des éléments du quotidien et du foyer relatifs à l’intimité, toutes époques confondues. Ils feront l’objet d’une exposition dans la nef du musée, destinée à parler d’arts décoratifs et de design avec une solide approche sociologique. De la solitude à la sexualité, du sommeil à la beauté, l’exposition creuse les sillons de l’intime en s’appuyant sur des références diverses : « des artisans, des artistes et de grands designers des XVIIIe au XXIe siècles sont convoqués […] d’Édouard Vuillard à Edgar Degas, des frères Bouroullec à Gaetano Pesce en passant par Superstudio et Archizoom, ou encore de David Hockney à Nan Goldin. »
À voir du 15 octobre 2024 au 30 mars 2025.
Abus de Souffle par Bertille Bak – Jeu de Paume (Paris 8)
Artiste de l’ailleurs et des marges, Bertille Bak travaille comme une documentariste à l’âme de poète. Le Jeu de Paume présente une sélection de ses installations pour mettre en valeur les métiers et les savoirs en voie de disparition et, à travers eux, les communautés rencontrées au fil de ses voyages. Dans une démarche ethnographique, elle « collecte et archive les traces de ces groupes marginalisés, ces “invisibles”, pour créer des récits filmiques » qui « interrogent la cartographie de la mondialisation ». Elle s’intéresse aux rites, aux codes sociaux et à la vie quotidienne des peuples. Au-delà des installations, elle investit le Jeu de Paume avec une scénographie sur mesure et « crée des rebondissements entre les œuvres pour questionner et dénoncer les relations de dépendance Nord-Sud avec fantaisie et humour ».
À voir du 13 février au 12 mai 2024.
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